Ce rosier s'adapte bien au climat marin

Résiste bien au gel. Exposition au soleil

Une création de Joseph Pernet-Duchet de 1887

Dans le midi, où il réussit particulièrement bien, ce rosier atteint des proportions inégalées et peut se cultiver en grimpant

D'une santé à tout épreuve, il craint seulement les vents froids printaniers qui grillent ses boutons à fleurs

Hybride de Moschata assez rare

'Commandant Beaurepaire' se plaît en climat frais et à la mi-ombre où son buisson peut s'élever à 1.50m, hauteur idéale pour une haire défensive

Seule note discordante, les fleurs sont abîmées par la pluie

Ce buisson fait preuve de force et de rusticité

Il pousse energiquement est accepte la mi-ombre

Les branches souples et peu épineuses portent des feuilles pointues, de couleur vert clair

Il fleurit tard mais assez généreusement, donnant par la suite quelques fleurs à l'automne

C'est en début d'été qu'il est le plus généreux, surtout si l'on palisse ces rameaux à l'horizontale

Un feuillage vert vif, rouge sur les jeunes pousses, habille un peu chichement son bois grêle, mais ce vieux rosier vaut d'être cultivé, tant pour son intérêt historique que sa beauté propre. Il est, de surcroit, d'une rare longévité.

Le buisson robuste s'entoure d'une frondaison vert foncé

Son nom réflète le désir de l'hybrideur d'obtenir un polyantha jaune, mais le jaune orangé de ses boutons vire au miel rosé lorsque s'ouvrent ses fleurs doubles, irisé d'abricot au centre

Un rosier d'exception tant par sa vigueur que par la beauté et la continuité de sa floraison

Voici un très bel arbuste, proche, par le port et le feuillage de 'Rosa Gallica Officinalis' dont il est issu

La floraison initiale, assez tardive et abondante, est suivie par un lèger regain à l'automne